Branle bas de combat dans les médias : TQS veut fermer son service des nouvelles. Inadmissible crient certains, odieux s’époumonent d’autres. Les arguments invoqués : une station de télé généraliste ne peut pas se passer d’un service des nouvelles. Ou encore :TQS offrait aux régions une couverture médiatique nécessaire. Bien entendu, les journalistes se sentent concernés et le sujet est partout dans les journaux.
La réalité, c’est que TQS est une entreprise privée, qui gère à sa guise ce qu’elle fait avec son budget. Le service des nouvelles de TQS n’est pas rentable : on coupe. Fin de l’histoire. On peut pleurer la disparition de Benoît Tranchemontagne si on est un fan, ou trouver dommage qu’il perde son travail, mais d’invoquer que TQS ne peux pas couper son service des nouvelles est simplement faux. Qui a dit qu’une station de télé doit avoir un service de nouvelles? Et s’il n’est pas rentable, qui a dit qu’elle doit le supporter quand même?
Quand François Morency a perdu son émission Merci Bonsoir en plein milieu de sa première saison, personne n’a crié que les artistes n’avaient plus de tribune pour performer à TVA, ce qui était pourtant le cas. TVA se gère à sa guise, comme TQS, dans le cadre des lois et règlements qui les régissent. Alors de quoi je me mêle?
Pourquoi je vous parle de ça dans un blogue qui s’adresse principalement aux gens qui cherchent à rencontrer de nouveau après une rupture? Parce que vous aussi, chers vétérans, allez être aux prises avec une situation où tout semble bien aller, où vous vous dévouez pour cette nouvelle personne récemment rencontrée avec qui tout va pour le mieux, lorsque soudainement elle décide de ne plus donner suite à votre relation naissante, parfois de manière cavalière.
Vous pourrez vous aussi en parler à tous vos amis pendant des lunes, écrire aux journaux, appeler sa mère et la vôtre, la réalité demeurera : tout le monde a le droit de quitter une relation, à tort ou à raison. Ça s’appelle maintenant se faire passer un TQS. Croyez-moi, ça apaise l’esprit de se le rappeler quand on le vit.
Bienvenue en 2008.
4 commentaires:
Par contre, s'il y a une mentalité que je n'endosse pas dans la vie, c'est bien ''If you can't beat them, join them'' quand il s'agit de nos valeurs.
Dire qu'on ne fera rien, parce que, maintenant, les gens n'ont plus de respect, et c'est comme ça que ça se passe, je n'achète pas ça.
Les gens et les entreprises sont de plus en plus superficiels et requins, mais ce n'est pas en les laissant faire, ou pire, en le devenant nous-mêmes, qu'on va faire avancer la société.
Bien sûr, quand on est la victime d'un coup bas relationnel ou personnel, il faut l'accepter, mais c'est très insidieux d'endosser ou de banaliser ce genre de valeurs et de méthodes.
Notre société est en train d'imploser à force d'accepter l'inacceptable.
salut ouais bennn
tant qua se faire dire des mauvaise nouvelles a chaque jours
sa va faire du bien disons
sérieux cétais pas mal plate comme émission meme si yavais jean luc mongrain cétais tellement routinier les meutres tout ca accident les feux la guerre entk cétais pas tjours le fun a regarder
mais bon je pense que les gens veule une autre sorte de nouvelles sais pas obliger detre a chaque jours la et jaime mieux les débats comme y va yavoir du sport ou 110 %
donccc entkk ya dautre poste et ya le net comme y dise
sa reste a voir mais moi jétais asser tanner dentendre leur négatif au quotidien et dailleurs je pense que cest un signe dun grand boulversement qui commence on a besoin de changement sa parrais
Je suis tout à fait d'accord avec toi Marc. TQS est une entreprise privé dont le but premier est d'être à profit. C'est peut-être pas honorable comme objectif pour certains mais une entreprise qui n'est pas à profit finie toujours par faire faillite.
Et puis de toute façon, je n'ai jamais écouté les nouvelles à TQS ... Les nouvelles, je l'ai écoute à Radio-Canada ou RDI, pas mal plus crédible.
Brillant :)
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